#le bande des quatre
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Les Quatre de Baker Street - T07 - L'Affaire Moran
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Cococuacuakiki
Le super sens du timing d'Averell...
#mine de rien Jack leur a probablement sauvé la vie à tous les quatre ici#Espuelas est assez prompt à leur faire passer l'envie de cococuacuakiker quand il est énervé#joe dalton#william dalton#jack dalton#averell dalton#lucky luke#album : tortillas pour les dalton#morris#rené goscinny#bd#bande dessinée
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Moving this here from my tags because it's just too funny: I haven't checked AO3, but I was saying in the tags that I can still quote a bunch of sentences from my French textbook and I bet so can most other people who had this book in school.
I wanted to quote one of the most iconic of these sentences:
Et boum! C'est le choc.
And while googling the correct spelling, I discovered that there is/was apparently a band that made songs based on phrases from these books?? Fucking wild!
#nostalgia#découvertes#Et boum! C'est le choc#quatre baguettes pour le prix de deux#arthur est un perroquet#and other gems#textbooks#fanfiction#looks like the band has three songs#and they're not half-bad#absolutely *wild* 😂🤣
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La Mode illustrée, no. 49, 9 décembre 1883, Paris. Toilettes de Mme Coussinet, rue Richer, 43. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Robe en moscovite gris acier, velours ciselé et soie brochée de même couleur. La jupe courte en moscovite uni, disposée en gros plis tuyaux, est garnie de quatre plis. Une écharpe en soie brochée est drapée sur le devant de la jupe et reparaît pour former le pouf par derrière. Très grand gilet Louis XV, en velours ciselé, avec jaquette Louis XV, faite en muscovite unie. Cette jaquette est largement ouverte sur le gilet. Sur le bord inférieur de celui-ci se trouve une fente dans laquelle passe l'écharpe, pour former des paniers sur les hanches et pouf derrière.
Dress in steel gray Muscovite, chiseled velvet and brocaded silk of the same color. The short skirt in plain Muscovite, arranged in large pipe pleats, is trimmed with four pleats. A brocaded silk scarf is draped over the front of the skirt and reappears to form the pouf at the back. Very large Louis XV waistcoat, in chiseled velvet, with Louis XV jacket, made of plain Muscovite. This jacket is widely open on the waistcoat. On the lower edge of the latter is a slit through which the scarf passes, to form baskets on the hips and pouf behind.
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Toilette de jeune femme. En satin merveilleux bleu pâle uni. Jupe ronde, garnie devant en tablier de quatre larges bandes de velours grenat. Tunique à paniers sous laquelle tombe de chaque côté un panneau plat entouré d'une broderie représentant des roses nuancées depuis le rose pâle jusqu'au grenat. Le corsage, fait en forme de guimpe, boutonné derrière, montant, est froncé à l'encolure. Collier de velours grenat, noué sur le côté, relevant une ruche de dentelle blanche. A l'extrémité des manches, bracelets de même velours, avec nœud pareil.
Young woman's ensemble. In plain pale blue marvelous satin. Round skirt, trimmed in front in an apron with four wide bands of garnet velvet. Tunic with paniers under which falls on each side a flat panel surrounded by embroidery representing roses shaded from pale pink to garnet. The bodice, made in the shape of a wimple, buttoned behind, rising, is gathered at the neckline. Garnet velvet necklace, tied on the side, raising a ruffle of white lace. At the end of the sleeves, bracelets of the same velvet, with a similar bow.
#La Mode illustrée#19th century#1880s#1883#on this day#December 9#periodical#fashion#fashion plate#color#description#rijksmuseum#dress#bustle#flowers#Modèles de chez#Madame Coussinet
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul �� il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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On This Day: 25th December, 1870
Fashion plate from La Mode Illustrée illustrated by Anaïs Toudouze featuring toilettes by Madame Breant-Castel of 28 rue Neuve des Petits Champs.
DESCRIPTION DE TOILETTES.
Robe de chambre en cachemire gris-perle, ouatée et doublée de foulard bleu. Cette robe de chambre, ouverte par devant, est bordée sur tout son contour d'une large bande en velours bleu; les manches larges sont bordées de même; le corsage ouvert a des revers en même velours bleu. A l'intérieur, camisole en nansouk fin, brodée et garnie de dentelle de Valenciennes.
Petit garçon de quatre ans. Pantalon large s'arrêtant au genou, et blouse demi-longue en velours anglais noir; bas rouges on laine cachemire; demi-bottes en cuir noir; paletot pareil au costume, bordé d'une bande de fourrure; col plat en toile; cravate rouze.
Jupon en taffetas grenat garní d'un haut volant plissé ayant 40 centimètres de hauteur; robe en velours grenat foncé, garnie d'une bande de petit-gris. Cette robe courte est relevée sous chaque bras par devant elle atteint presque le bord supérieur du volant du jupon en taffetas, par derrière elle dépasse ce bord et tombe à mi-hauteur du volant. Paletot parell à la robe et garni de même; ce paletot est fendu sous chaque bras et au milieu par derrière, tous les contours (y compris les entournures des manches) sont brodés avec une bande de petit-gris. Chapeau de velours noir garni de dentelle noire et d'une plume noire.
Ref: 1870-12 LMI52
#1870-12 LMI52#1870s#french fashion plate#1870s fashion#bustle fashion#1870s dress#first bustle#fashion plate#victorian fashion plate#la mode illustree#anais toudouze#la mode illustrée#historical fashion#December
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Durant l’été 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scène la démolition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans précédent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dénonce alors « un crime intolérable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communauté internationale n’avait pourtant pas exprimé, durant les quatre années précédentes, une indignation comparable face aux ravages infligés par le régime de Bachar Al-Assad à l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait été défigurée, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’Apamée était livré aux pillards et même Palmyre avait déjà souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spécifique, mais plutôt comme une conséquence de la brutale répression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion était entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, à la différence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dégâts collatéraux d’une campagne qualifiée d’« antiterroriste ».
C’est le même registre qui permet à l’armée israélienne d’atténuer l’impact des coups portés au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censée, depuis un an, conduire à la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se déroule loin du regard de la presse étrangère, interdite d’accès à Gaza, et qu’elle a déjà causé la mort de près de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignée n’a pu être opérée qu’en réduisant l’enclave palestinienne à n’être qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par là même son histoire plurimillénaire. L’oasis de Gaza a néanmoins été depuis la plus haute Antiquité un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoité par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l’Egypte, et inversement. Dès la fin du IIe millénaire avant notre ère, Gaza constitue, avec quatre autres cités, aujourd’hui situées en territoire israélien, une fédération dénommée Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en écho de cette Philistie que, des siècles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armée israélienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 à 2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la défense de 1967 à 1974, organise même des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siècles avant notre ère, est acquis par Moshe Dayan, avant d’être cédé par ses héritiers. Il est désormais exposé à Jérusalem, dans la section archéologique du Musée d’Israël, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prédation préservait malgré tout les œuvres concernées, alors que les ravages infligés par Israël à l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une année de bombardements, sont d’une ampleur inédite : non seulement les douze universités de l’enclave palestinienne ont toutes été détruites, totalement ou partiellement, mais la majorité des mosquées et des églises du territoire ont aussi subi le même sort, alors que certaines étaient porteuses d’une histoire pluriséculaire. La masse des débris accumulés atteint d’ores et déjà la proportion affolante de 300 kilogrammes par mètre carré.
L’inventaire d’un patrimoine bombardé
Le monde académique, entre autres en France, a multiplié les initiatives face à un tel désastre. C’est ainsi que l’archéologue René Elter a présenté au Louvre, en avril, devant un amphithéâtre comble, les actions de préservation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a été consacré, en septembre, à Paris, au défi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spécialistes de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, engagés depuis des décennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, après des mois de travaux préparatoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir à la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrés et une fiche explicative détaillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accès aux bases de données pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchée par un bombardement israélien, le 19 octobre 2023, avait déjà été endommagée lors de l’offensive israélienne de l’été 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siècle, est censé abriter la tombe de l’ancien évêque de Gaza, Porphyre, canonisé pour avoir christianisé la cité au début du Ve siècle.
D’autres fiches sont consacrées à des sites plus contemporains : les cimetières militaires regroupant, à Gaza comme à Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombés, en 1917-1918, durant la conquête britannique de la Palestine ; le siège de la municipalité de Gaza, installé en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinémas Samir et Nasr, qui ont marqué la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siècle. Un tel inventaire est, à bien des égards, précieux pour apprécier la diversité de l’immense patrimoine de Gaza, au moment même où il est en train de disparaître sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#palestine#free palestine#zionism#colonialism#racism#israel#genocide#cultural heritage#french#upthebaguette#french side of tumblr#bee tries to talk
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[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers."
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les r��ponses étaient là quelque part.
L'enqu��te qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ?
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
#s10e11 sweet 'n savory#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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Quatre travailleurs humanitaires internationaux de World Central Kitchen du Royaume-Uni, d'Australie et de Pologne ont été tués dans une frappe "israélienne" contre leur voiture à Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza.
Des personnes pacifiques, nobles et courageuses tuées par les criminels sionistes
#israeli war crimes#israeli war criminals#israel war criminal#israel war crimes#israeli terrorism#israel terrorist#gaza strip#free gaza#gaza under attack#gaza genocide#gazaunderattack#gaza under genocide#gazaunderfire#genocide in gaza#save gaza#stand with gaza#gaza#gaza fights for freedom#gaza free#free free palestine#free palestine#palestine#i stand with palestine#palestinian lives matter#genocide in palestine#palestine genocide#palestine will be free#palestine will never die#israël#stand with palestine
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Another of my favourite songs by the indie pop band Ginestà.
Lyrics in Catalan and translation to English:
Marxo, però el meu cos el deixo aquí Amb el cap sobre el coixí També deixo quatre plantes No vengueu els meus vinils
I'm leaving, but I leave my body here with my head on the pillow I also leave a few plants Don't sell my vinil records
No patiu, va ser dormint Vaig triar una bona caixa D'entre totes la de pi, envernissada
Don't worry, it happened when I was sleeping I had chosen a good box out of all the pinewood ones, varnished.
Tornada: Sonen campanes per tota la plaça Gent apartant-se deixant-me passar Sobre l'espatlla dels meus estimats Hi ha el silenci de la resta mortals No ploreu deixant-me anar
Chorus: Bells rings throughout the square People stepping aside to let me pass through On the shoulders of the people I love There's the silence of the rest of mortals Don't cry when you let me go
Marxo, però us observo des d'aquí Amb els núvols de coixí Soc de molt poques paraules No apareixeré de nit Cadascú té el seu destí Ara em toquen les vacances Fer un cafè amb la Lady Di I amb la iaia
I'm leaving, but I watch you from here With the clouds as a pillow I'm not talkative at all, I won't appear at night Each person has its own destiny Now it's time for my holidays To take a coffee with Lady Di And with grandma.
Repeat chorus
#ginestà#música#arts#death tw#català#catalan#indie pop#song recs#music recs#music recommendation#song of the day#indie#indie music#pop music#Spotify
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Dr. John Neff ❤️👍😇 : Dans les années 60, il y avait déjà des polémiques sur l'efficacité des vaccins. Cependant depuis 2021, les dommages causés par les vaccins anti Covid19 sont bien supérieurs à ceux du vaccin contre la variole et à ce jour, toujours aucune réaction de la part des autorités sanitaires françaises ou internationales 🙉🙊🙈����☠️😢😕
« Comment tout peut s'effondrer. » Quatre ans après la recherche pour ces ouvrages - si non enchanteurs, prophétiques - notre toit coule, nos politiques, whorenalisses et autres pousheurs de "soin$ public$" s'apprêtent à nous remettre une enième couche de groundup, une autre ronde de génocide sioniste et une autre bande de couaccinophiles par en arrière pis dans face et ce, dans un cloaque de corruption inflationniste.
#pablo servigne#comment tout peut s'effondrer#big pharma est toujours en bonne santé#big pharmla#covid&corruption#covid de sens#covid au cerveau#mon ministre est sinistre
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Okay William
Jack peut être flatteur vis-à-vis de Joe mais William, c'est un tout autre level. Le pire c'est que c'est sincère. Et parfois même, un peu trop passionné.
Néanmoins, au fur et à mesure des albums, il se modère un peu plus. Faut croire que leurs aventures lui a fait perdre quelques illusions sur le génie de son frère aîné.
#ironiquement c'est le seul des quatre à ne s'être canoniquement jamais intéressé à personne d'autre que ses frères ou Ma#ceci expliquant peut-être cela#joe dalton#william dalton#jack dalton#averell dalton#lucky luke#album : les dalton dans le blizzard#album : les dalton courent toujours#morris#rené goscinny#bd#bande dessinée
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"On ne me fera pas non plus le coup de la France périphérique encore une fois, l’arnaque du petit peuple français sain et inviolé, garant officieux d’une illusoire « décence commune ». Je connais la France périphérique ; je croise un peu les gens moi aussi, je les écoute sans rien dire, je lis les commentaires çà et là sur les réseaux, comme ça un peu au hasard, par-ci par-là. Je lis les conneries qu’ils racontent les gens, l’immense conspiration de tous ces inconnus contre l’intelligence, toutes ces conneries mirifiques qu’aucun algorithme ne pourra jamais concurrencer. L’intelligence artificielle, au rythme où vont les choses, peut dormir bien tranquille ; la connerie, même post-humaine, a de beaux jours devant elle et l’homme ne sera jamais un robot comme les autres.La France périphérique nouvelle génération, c’est ce ramassis de post-humains tatoués jusqu’à la raie, ce florilège d’abrutis orelsanisés et gavés de pornographie jusqu’à la moelle, ces spectateurs morbides de « Quatre mariages pour une lune de miel » en quête de dîners presque parfaits, ces éternels adolescents ectoplasmiques biberonnés à la « culture Web », une file interminable de clones siliconés, spirituellement aya-nakamuraïsés et lexicalement nabilaïsés – à moins que ça ne soit l’inverse ? –, traînant leur pauvre vie de réseau social en réseau social, comme une piètre télé-réalité manquée. La France périphérique, c’est le rap en bande originale toute la journée et le pétard à la bouche dès quatorze ans ; et vogue la galère avec les neurones, déjà restreints, qui s’amenuisent au fil des ans. C’est la France des grands frustrés de la mondialisation, ceux qui voudraient bien à leur tour un peu plus de partouze et de pouvoir d’achat. La France pour qui la dernière Playstation ne sera jamais trop chère, mais le Voyage au bout de la nuit à douze euros cinquante sur Amazon Prime toujours hors de prix. La France qui quémande cinq euros de plus pour se noyer toujours sous davantage de merde et rallonger, pour quelques mois encore, ses abonnements Netflix et Disney Plus. C’est la France d’après l’Histoire, à qui même Tinder ne sourit pas ; la France des demi-vivants voués à partouzer depuis l’enfance dans le cybermonde ; la France qui n’a pas son mot à dire, et qui aimerait tant, pourtant, participer au Déluge."
Tom Benejam
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La Mode illustrée no. 46, 12 novembre 1865, Paris. Toilettes des Magasin du Louvre, 164 Rue de Rivoli. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Toilette de théâtre. Robe en poult-de-soie jaune d'or; le bas de la jupe est garni avec des entre-deux en dentelle noire composés de médaillons ovales, traversés perpendiculairement de distance en distance par des médaillions de même forme, mais plus grands, qui unissent les deux entre-deux et les dépassent; grand bournous (sp?) en dentelle noire. Chapeau composé de bandes de velours blanc, alternant avec des bouillonnés en crêpe rouge; brides rouges.
Theatre ensemble. Dress in golden yellow poult-de-silk; the bottom of the skirt is trimmed with black lace entre-deux composed of oval medallions, crossed perpendicularly at intervals by medallions of the same shape, but larger, which unite the two entre-deux and exceed them; large shawl in black lace. Hat composed of bands of white velvet, alternating with bouillonnés in red crepe; red straps.
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Première robe en poult de soie blanc, bordée avec un étroit volant tuyauté, surmonté d'un dessin composé de trèfles exécutés en lacet d'or. Robe en velours bleu clair, bordée avec une frange de chenille bleue, mélangée de boules en or; cette robe est relevée devant et sur les côtés, et fixée sur la première robe par des cordelières bleues et or, formant un large trèfle terminé par des glands; corsage décolleté en poult de soie blanc, garni d'une broderie en tulle blanc; corselet en velours bleu, boutonné devant avec trois boutons d'or, encadré avec une corde bleue et or; manches courtes, bouillonnées en tulle. Coiffure antique avec diadème et bandelettes en or chaînette en or, retenant au cou une croix d'or. Gants blancs à quatre boutons (très-longs par conséquent).
First dress in white poult-de-soie, edged with a narrow piped flounce, topped with a design composed of trefoils executed in gold lace. Dress in light blue velvet, edged with a fringe of blue chenille, mixed with gold balls; this dress is raised in front and on the sides, and fixed on the first dress by blue and gold cords, forming a large clover finished with tassels; low-cut bodice in white poult-de-soie, trimmed with white tulle embroidery; blue velvet bodice, buttoned in front with three gold buttons, framed with a blue and gold cord; short sleeves, bubbled in tulle. Antique hairstyle with tiara and gold bands, gold chain, holding a gold cross at the neck. White gloves with four buttons (very long consequently).
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Dernière remarque. La robe de velours forme une longue queue par derrière.
Last remark. The velvet dress forms a long tail at the back.
#La Mode illustrée#19th century#1860s#1865#on this day#November 12#periodical#fashion#fashion plate#color#description#Forney#dress#shawl#gown#evening#theatre#Modèles de chez#Magasin du Louvre
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Perdre Une Autre Seconde - Robin Buckley
Stranger Things Masterlist
Résumé : Tu dois affronter Vecna et tu as peur de mourir sans avoir avoué tes sentiments à Robin.
Warnings : se passe pendant 4x08 & 4x09, un peu d'angst, happy ending.
Nombre de mots : 2.9k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Last Day On Earth by Jade LeMac
L’heure est arrivée de se préparer pour vaincre Vecna ou plutôt Numéro Un. Avec Nancy, Max, Lucas, Dustin, Eddie, Erica, Steve et Robin, vous êtes en train de préparer vos armes et de peaufiner le plan. L’anxiété est à son paroxysme et pourtant, personne ne semble en parler, comme si c’était un sujet tabou.
Dans un champ, vous êtes divisés en quatre groupes distincts. Dustin et Eddie s’amusent, ignorant le danger qui les guettent. Erica et Lucas fabriquent des armes de fortune un peu plus loin. Quant à toi, tu es avec Max et Nancy. Cette dernière a sorti son fusil et vous montre comment il fonctionne. N’ayant jamais tenu une arme de ta vie, tu as pas mal de choses à apprendre. Derrière vous, un peu éloignés, il y a Steve et Robin qui préparent des cocktails Molotov et discutent. La tension est palpable pendant qu’ils parlent. Ils ne sont pas bavards comme d’habitude. Ils se connaissent tellement bien qu’ils arrivent à sentir la peur de l’autre même s’ils ne parlent pas du Monde à L’envers. Toutefois, Robin finit par évoquer le sujet tabou alors que, nerveusement, elle exprime sa peur à Steve à demi-mot.
-Ça peut pas toujours bien se finir.
-Ouais, je sais. Mais à qui le dis-tu ! répond Steve, ne comprenant pas le double sens de la phrase de Robin.
Robin lève les yeux et elle te regarde avec Max et Nancy qui tient un fusil. Ton dos lui fait face pendant que tu écoutes les instructions de Nancy sur comment tirer. Même si elle ne peut pas te voir, Robin sait exactement quelle est ton expression du visage. Tu as les sourcils froncés et tu te mords l’intérieur de la joue, comme à chaque fois que tu es concentrée. Robin a un pincement au cœur en pensant à ce qui vous attend et aux mots qu’elle n’a jamais osé dire.
-Je parle pas de déception amoureuse. J’ai… un très mauvais pressentiment, commence Robin avec hésitation. J’ai l’impression que ça pourrait mal tourner pour nous cette fois.
-Tu penses qu’on doit renoncer ? demande Steve.
-Je pense qu’on est une bande de fous, tout autant qu’on est, mais si on arrive pas à le battre, qui va y arriver ? Il faut tenter notre chance, non ?
-Ouais. A la mise à mort de Vecna, déclare-t-il en levant une des bouteilles de cocktails Molotov.
-Alias Henry, ajoute Robin en faisant le même geste.
-Alias numéro Un, précise Steve avant que les deux amis trinquent les bouteilles ensemble. Si ça devait mal tourner, tu devrais lui parler au lieu de la regarder au loin.
-Tu vas pas recommencer avec ça. Je t’ai déjà dit que ma vie amoureuse était le cadet de mes soucis actuellement, soupire Robin en évitant le regard de Steve.
-Tu as le béguin pour elle depuis des années, c’est peut-être le moment d’enfin dire quelque chose !
-Elle n’a pas de sentiments pour moi.
-Je sais que t’es aveugle, mais quand même ! Elle te regarde comme tu le fais. Dès qu’il y a le moindre danger, elle s’inquiète pour toi.
-On est amies, c’est normal.
-Tu me désespères. Vous êtes plus que des amies et ça serait officiel depuis longtemps si vous arrêtiez d’avoir peur d’un rejet qui n’arrivera jamais, déclare-t-il, sûr de lui.
-Tu vas pas me lâcher avec ça ?
-Si c’est la dernière chose que je dois faire, qu’il en soit ainsi.
-Mais qu’est-ce que tu veux que je lui dise ? demande Robin après avoir lâché un cri de frustration. T’as oublié qu’à chaque fois que je dois ouvrir la bouche, je ne fais que de m’enfoncer ? Je continue à parler alors que je devrais me taire et je dis que des choses de travers. J’arrive jamais à trouver les mots.
-Parle avec ton cœur.
-T’as plus cucul comme conseils ? s’exclame-t-elle en levant les yeux au ciel.
-Sois toi-même, rétorque Steve avec un faux sourire niais.
-Donc, t’as plus cucul.
-N’aies pas peur du rejet.
-Ecoute, faisons un deal. Si on sort vivant de toute cette histoire, je lui avouerai mes sentiments et toi, tu arrêtes avec tes maudits conseils.
-Deal.
Steve serre la main de Robin pour sceller leur accord. Robin regrette déjà d’avoir cédé. Pourquoi est-ce qu’elle a craqué ? Elle va sûrement ruiner votre amitié et juste parce qu’elle ne savait pas comment faire taire Steve. Robin pousse un grand soupir avant de jeter un coup d'œil dans ta direction. Tout de suite, quand tu vois les yeux de Robin se poser sur toi, tu détournes le regard, prétendant inspecter le fusil dans tes mains.
-Vous me fatiguez, vous deux, te dit Nancy, une fois que Max est partie retrouver Lucas et Erica.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Toi et Robin. Vous êtes attirées l’une par l’autre et pourtant, vous restez là à vous regarder au loin. Toi qui dis toujours ce que tu penses, pourquoi est-ce que tu as encore rien dit ?
-Parce qu’elle est clairement attirée par Vickie. Elle la regarde avec toute la tendresse du monde.
-Tu te trompes de personne. C’est toi qu’elle regarde de cette façon.
-Je veux pas perdre son amitié juste parce que j’ai des sentiments. Je préfère souffrir en silence, déclares-tu, peu convaincue.
-T’as raison, c’est plus sain, dit Nancy ironiquement. Y/N, on va affronter Vecna dans peu de temps et honnêtement, je ne sais même pas comment ça va finir. Et si j’ai bien appris un truc avec toutes ces histoires de Monde à L’envers, c’est qu’on ne sait pas combien de temps il nous reste alors si on doit dire quelque chose à quelqu’un, on doit le faire tant qu’on a le temps. Alors, arrête d’avoir peur et va lui dire ce que tu ressens.
Sur ces dernières paroles encourageantes, Nancy prend le fusil de tes mains et te pousse vers Robin. Avec réticence, tu décides de suivre ce qu’elle t’a dit. Jouant nerveusement avec tes mains, tu te rapproches. Quand tu es en face de Robin et Steve, tu prends une grande inspiration avant de prendre la parole :
-Robin, est-ce que je pourrais te parler seule à seule, s’il te plait ?
-Bien sûr.
-Je vais vous laisser, commence Steve en se levant rapidement, Henderson a sûrement besoin que je lui montre deux, trois trucs pour se défendre. Je vous laisse parler, seules.
Robin se frappe mentalement la tête devant l’attitude de Steve. Tu as envie de rigoler face à l’excuse de Steve, mais ne fais rien. Tu restes en face de Robin alors qu’elle se lève pour que vous soyez à la même hauteur. Dans ton dos, Robin peut voir Steve faire des grands gestes en te pointant du doigts et en mimant les mots: “dis-lui que tu l’aimes bien.” Robin détourne vite le regard avant de mourir de mortification.
-Tu veux parler de quoi ? demande Robin, embarrassée.
-Oh, euh… Je ne sais pas vraiment comment commencer, réponds-tu avant de prendre une grande inspiration. Je... Ça fait un moment que j’ai envie de te le dire, j’ai des sentiments pour toi, Robin. Depuis deux ans pour être précise. Dès le moment où tu m’as parlé pour la première fois en me sortant toute l’histoire de Dizzy Gillespie quand je t’avais posé une simple question sur la trompette, j’ai su que tu allais me plaire ; je ne savais juste pas à quel point. Il y a plusieurs moments où j’ai voulu te le dire, mais à chaque fois, je me suis dégonflée. Tu n’as pas à me répondre ou à te sentir obligée de me dire que tu ressens la même chose. Je sais que tu as des sentiments pour Vickie donc je sais très bien que c’est à sens unique - c’est d’ailleurs pour ça que je n’osais rien dire. Mais maintenant qu’on va littéralement en mission suicide contre Vecna, je me suis dit autant te l’avouer. Si je dois mourir, je devrais dire ce que je ressens. Je voulais juste que tu le saches. Je vais y aller avant d’aggraver la situation, finis-tu alors que Robin reste muette.
-Y/N, attends ! te retient-elle. Je ressens la même chose.
-Et Vickie ?
-C’est une amie, mais je ne l’aime pas de cette façon. J’ai toujours pensé que tu étais trop bien pour moi, c’est pour ça que je ne t’ai rien dit.
-Vraiment ? demandes-tu, sous le choc.
-Oui, vraiment.
-Est-ce que ça veut dire que tu accepterais d’aller à un rendez-vous avec moi quand tout sera fini ? proposes-tu, en évitant de la regarder, craignant un rejet.
-Totalement !
-Parfait, alors, souris-tu en posant à nouveau les yeux sur Robin. Et maintenant qu’on doit officiellement sortir ensemble, tu as intérêt à faire encore plus à toi quand on sera là-bas.
-Toi aussi.
-Je couvre tes arrières. Ça va aller, lui assures-tu.
Malgré votre promesse au milieu du champ, vous comprenez vite que rester en vie sera plus compliqué que prévu lorsque vous vous découvrez la maison Creel remplie de vignes. Steve jure en voyant dans quel état est la maison. L’angoisse monte d’un cran, toutefois Steve prend une profonde inspiration et entre en premier en sautant entre les vignes. Nancy est derrière bien qu’elle n’ait pas encore totalement passé le pas de la porte. Quant à toi et Robin, vous êtes encore en retrait. Robin te prend soudainement la main, craignant que Steve tombe et également de marcher au mauvais endroit quand ça sera son tour.
Les mots se coincent dans la gorge de Robin, alors elle te fait seulement un sourire pincé avant de suivre Nancy et Steve, peu confiante. Quand Robin a un peu avancé, tu pénètres enfin dans la maison qui est tout sauf chaleureuse. Vous continuez de marcher jusqu’à monter à l’étage. Vous sortez vos armes, une machette pour toi, une hache pour Steve et il sort le fusil du sac de Nancy et le lui tend. Soudain, il y a un tremblement de terre dans la maison et vous tentez tant bien que mal de vous retenir sans prévenir Vecna par inadvertance. Robin ferme les yeux tandis que tu poses ta main sur son épaule, espérant calmer son anxiété. Quand le calme est revenu, vous arrêtez de vous tenir. Vous vous apprêtez à continuer de monter au grenier quand une vigne s’accroche au pied de Robin et la tire en arrière.
-Robin ! cries-tu en te jetant après elle.
Malgré tes efforts, tu n’arrives pas à retenir Robin qui se retrouve plaquée contre le mur, les vignes s’accrochant à tout son corps. Avec ta machette, tu essayes de couper les vignes qui se referment un peu plus sur elle. Robin vous appelle au secours et rapidement Steve et Nancy te rejoignent pour la sauver. Nancy frappe avec son fusil alors que Steve utilise sa hache. Cependant, sa hache est tirée en arrière sans que vous vous y attendiez puis, il se retrouve collé au mur. Nancy part dans l’autre sens, tentant de libérer Steve pendant que tu restes concentrée sur Robin. Malheureusement, tu peux seulement donner un coup de plus avant d’être violemment ramenée sur le côté. Tu te retrouves plaquée contre le mur à côté de Robin, la peur te paralysant totalement. Nancy est la dernière libre, mais pas pour longtemps. Une autre vigne s’accroche à son pied, la faisant tomber et lâcher son arme. Elle essaye de la récupérer, mais elle se retrouve coincée et attachée au mur.
Les vignes se resserrent autour de ton cou, te coupant ta respiration. Les larmes coulent à présent sur tes joues, sentant la mort arrivée. Avec tes dernières forces, tu arrives à tourner légèrement ta tête sur la droite et à voir Robin qui est totalement effrayée. Tu n’arrives pas à croire que c’est la fin alors que tu es encore jeune, que tu n’as pas fait tout ce que tu voulais, notamment être avec Robin. Tu penses à tes parents que tu aimes, malgré les conflits que vous pouvez avoir. Tous tes regrets te frappent de plein fouet. Tout ce que tu aurais dû dire, toutes les fois où tu aurais dû t’excuser. Tu aimerais avoir plus de temps. Ça ne peut pas se finir comme ça. Ta vie ne peut pas se finir dans le Monde à L’envers, tes regrets te tuant autant que Vecna.
Après ce qui semble une éternité, tu sens l’emprise autour de ton cou se relâcher. Tu arrives à prendre une grande bouffée d’air alors que tu tombes au sol, tes amis également. Vous voyez les vignes se rétracter alors que vous toussez pendant que vous respirez normalement à nouveau.
-Je crois ni en une force supérieure et ni à une intervention divine, mais c’est un miracle, déclare Robin.
-Il vaut mieux pas se rater, réplique Nancy avec fureur une fois que vous êtes debout, chargeant son arme.
-Quatrième étape, ajoute Steve.
-Le cramer, réponds-tu.
Vecna a enfin été vaincu, mais à quel prix ? La ville a subi un tremblement de terre si violent que le sol s’est ouvert, Max est à l’hôpital entre la vie et la mort, Eddie est mort, Dustin et Lucas sont traumatisés d’avoir perdu une personne chère sous leurs yeux et le reste du groupe n’est pas mieux. Même Mike, Onze, Will et Jonathan n’en sont pas sortis indemnes alors qu’ils n’étaient pas à Hawkins.
Enfin arrivés au grenier, vous faites face à Vecna en lévitation alors que toutes les vignes sont reliées à son corps. Robin pose son sac au sol et avec Steve, vous sortez les cocktails Molotov. Steve lance le premier, réveillant Vecna. Alors que Numéro Un se rapproche, tu lances le deuxième et enfin, Robin lance le sien. Vecna en feu, il n’a pas l’air de vouloir s’arrêter pour autant. Nancy fait un pas en avant, une expression menaçante sur son visage, fusil en main et tire à plusieurs reprises sur Vecna jusqu’à ce qu’il tombe par la fenêtre.
Cette fois, le poids de se battre contre le Monde à L’envers est insoutenable. Vous avez déjà été proche de la mort à de nombreuses reprises, mais rien à voir avec cette fois. Et le pire, c’est qu’il y a encore ce sentiment d’anxiété que la disparition de Vecna n’est que le calme avant la tempête. Certes, vous l’avez vaincu, mais est-ce vraiment fini pour autant ? Êtes vous enfin en sécurité ? Peu importe la réponse, le stress lié à tous ces évènements ne va pas partir de sitôt.
Chaque seconde horrible reliée à toute cette histoire tourne dans ta tête. Tu es encore traumatisée de ce qui s’est passé dans la maison Creel où tu as failli perdre la vie. Tu n’arrêtes pas de te dire qu’à tout moment, tu aurais pu mourir dans le Monde à L’envers et tes parents ne l’auraient jamais su, tu n’aurais jamais eu ton rendez-vous avec Robin et tu ne serais pas en train de la raccompagner chez elle actuellement. Maintenant plus que jamais, tu as pris conscience d’à quel point chaque seconde est précieuse.
Le chemin jusqu’à chez Robin se fait de manière silencieuse. Quand vous arrivez chez elle, tu prends une profonde inspiration avant de laisser échapper :
-Sois ma petite amie.
-Quoi ?
-Désolée, c’était trop direct, tu t’excuses en fermant les yeux pendant une seconde. Laisse-moi recommencer. Je tiens beaucoup à toi, Robin, vraiment beaucoup et s’il y a bien quelque chose que j’ai retenu de toute cette histoire, c’est que je ne veux pas mourir en ayant de regrets. Je ne veux pas repenser à mes années lycée et me dire que j’aurais dû faire ça ou ne pas faire ça, que j’ai laissé mes peurs m’empêcher de faire ce que je voulais. Je veux vivre chaque instant à fond. Et je sais que tu as accepté d'aller à un rendez-vous avec moi et honnêtement, c’est plus que ce que j’espérais, mais j’adorerais pouvoir t’appeler ma petite amie. À la base, je pensais organiser un premier rendez-vous romantique et à la fin de ce rendez-vous, je t’aurais demandé d’être ma petite amie, mais on a pas encore fixé de date et même si c’était le cas, la date serait encore trop loin. Je sais ce que je ressens pour toi et et je veux être avec toi, alors, si c’est ce que tu veux aussi, j’aimerais qu’on soit officiellement ensemble, finis-tu en reprenant ton souffle. Évidemment, si c’est trop rapide pour toi et que tu préfères qu’on avance doucement, alors c’est ce qu’on fera. Ne te sens pas obligée de faire quoique…
Tu n’as pas le temps de finir ta phrase que les lèvres de Robin s’écrasent sur les tiennes. Tu poses tes mains sur ses hanches et approfondis le baiser alors que les siennes sont sur tes joues. Vous vous embrassez pendant plusieurs secondes et plus rien n’existe autour de vous. Plus de Vecna, de Monde à L’envers, de pression, de peur. Rien. Seulement toi et Robin en train de vous embrasser dans ta voiture.
Robin recule légèrement mettant fin au baiser et elle sourit tandis que ses joues prennent une teinte rosée.
-Je ne savais pas quoi répondre, avoue-t-elle, doucement.
-C’est rare venant de toi, mais je suis contente d’avoir cet effet. Même si j’espère que tu continueras à me parler de tout et de rien.
-J’adorerais être ta petite amie. Je ne veux pas perdre une autre seconde sans être avec toi.
Ravie de savoir que le sentiment est partagé, tu la regardes avec amour, ta main droite passe de sa hanche à sa joue, la caressant doucement avant de ramener le visage de Robin vers toi et de l’embrasser à nouveau.
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LÉGENDES DU JAZZ
PETER ERSKINE, UN BATTEUR POLYVALENT
Né le 5 juin 1954 à Somers Point, au New Jersey, Peter Erskine a commencé à jouer de la batterie à l’âge de quatre ans. Après avoir fréquenté l’Interlochen Arts Academy au Michigan, Erskine avait étudié les percussions à l’Université d’Indiana sous la direction de George Gaber.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Erskine a amorcé sa carrière professionnelle en 1972 comme membre de l’orchestre de Stan Kenton. Quatre ans plus tard, Erskine s’était joint au groupe de Maynard Ferguson. Après être entré dans le groupe Weather Report en 1978, il s’était installé à Los Angeles. Erskine avait enregistré cinq albums avec le groupe, dont 8.30, qui lui avait mérité son premier prix Grammy. Le partenariat d’Erskine avec la révélation de la basse électrique Jaco Pastorius avait d’ailleurs été un élément essentiel du succès du groupe. Erskine avait aussi travaillé plus tard avec le groupe Word of Mouth de Pastorius.
Durant son séjour à Los Angeles, Erskine avait également collaboré avec Freddie Hubbard, Joe Henderson, Chick Corea, Bobby Hutcherson, Joe Farrell et George Cables. Erskine s’était installé par la suite à New York où il avait travaillé durant cinq ans avec le groupe Steps Ahead composé de Michael Brecker, Mike Mainieri, Eddie Gomez et Eliane Elias. Il avait aussi collaboré avec John Scofield, Bill Frisell et Marc Johnson dans le cadre du groupe Bass Desires, le John Abercrombie Trio et le Bob Mintzer’s Big Band.
Même s’il vivait à Los Angeles depuis 1987, Erskine avait énormément voyagé autour du monde, et avait travaillé avec de nombreux artistes dont Diana Krall, Joni Mitchell, Vince Mendoza, Steely Dan, Jan Garbarek, Kenny Wheeler, Palle Danielsson, John Taylor, Alan Pasqua, Bob Sheppard, Bob Mintzer, Kate Bush, Nguyen Lê, Rita Marcotulli, le Norrbotten Big Band en Suède et Sadao Watanabe au Japon.
ÉVOLUTION RÉCENTE
En 1992, Erskine avait fait une tournée aux États-Unis avec le pianiste Chick Corea.
Erskine avait remporté son second prix Grammy en 2003 comme batteur du WDR big band de Cologne dans le cadre de l’album “Some Skunk Funk qui mettait aussi en vedette les frères Michael Brecker et Randy Brecker, Vince Mendoza et plusieurs autres . Parallèlement, Erskine avait travaillé avec de nombreux autres musiciens dont Seth MacFarlane, Patrick Williams, ainsi qu’avec John Beasley, Bob Sheppard et Benjamin Shepherd du Dr. Um Band, tant en tournée que comme musicien de studio. En 2005, Erskine avait collaboré avec Kate Bush sans le cadre de l’album Aerial, qui mettait également en vedette le bassiste Eberhard Weber. Il avait également travaillé comme musicien invité avec Diana Krall, Eliane Elias, Queen Latifah et Linda Ronstadt ainsi qu’avec divers orchestres symphoniques.
Également compositeur, Erksine avait aussi travaillé sur plusieurs musiques de film dont “Memoirs of a Geisha” (2005), les trois films de la série Austin Powers, les nouveaux films de la série ‘’The Pink Panther’’, ainsi que sur “The Adventures of Tintin’’ (2011) de Steven Spielberg. Erskine avait également joué sur la bande sonore des films “La La Land” (2016), “Let Them All Talk” (2019) de Steven Soderberg, “Mank” (2020) de David Fincher et “Babylon” (2022) de Damien Chazelle. Il avait aussi travaillé sur la bande sonore de la série télévisée “The Orville” diffusée sur le réseau Fox de 2017 à 2019. Erskine avait également composé de la musique pour le théâtre, notamment sur les pièces Richard II et A Midsummer Night’s Dream (Le songe d’une nuit d’été) de Shakespeare, qui avait remporté le prix de la meilleure bande sonore originale décerné par le Los Angeles Drama Critics Circle. La bande sonore qu’Erskine avait composée pour la pièce Twelfth Night de l’American Conservatory Theatre aussi remporté le prix de la Bay Area Drama Critics’ Circle dans la catégorie de la meilleure bande sonore dramatique. Erskine avait également écrit la bande sonore de la pièce Romeo & Juliet de Hamlet, du ballet “History of the Drum” (qu’il avait écrit pour la Kokuma Dance Company de Birmingham, en Angleterre), ainsi que pour les pièces Side Man” et de Defiance Pasadena Playhouse. Erskine avait également écrit des trames sonores pour des films d’animation comme Gun Smith Cats et des livres audio de la série “Alien Voices” mettant en vedette Leonard Nimoy et John deLancie de la télésérie Star Trek.
Erskine avait aussi agi comme producteur sur les albums de jazz de sa propre compagnie de disques Fuzzy Music, pour lesquels il avait obtenu quatre nominations au gala des prix Grammy. Erskine est également l’auteur de plusieurs manuels didactiques dont “Drumset Essentials, Vols. 1, 2 & 3 ” (un manuel d’instruction pour batterie), “Erskine Method” (qui comprend aussi un DVD), “Essential Drum Fills”, “Time Awareness for All Musicians”, “Drum Concepts & Techniques” et “The Drum Perspective”. Erskine est aussi l’auteur de “No Beethoven’’ (une autobiographie et une chronique de la carrière du groupe Weather Report). Son plus récent livre intitulé “The Musician’s Lifeline’’ a été co-écrit avec Dave Black.
Aussi enseignant, Erskine est professeur de pratique et directeur des études de batterie à la Thornton School of Music de l’University of Southern California. Il anime également des cliniques et des séminaires à travers le monde. Erskine est aussi consultant en batterie à la Royal Academy of Music de Londres.
Loin de se limiter au jazz, Erskine avait fait de nombreuses apparitions comme soliste avec plusieurs orchestres symphoniques dont ceux de Londres, Los Angeles et Chicago, ainsi qu’avec l’orchestre de la radio de Francfort, la Scottish Chamber, l’Ensemble Intercontemporain, la Royal Opera House, la BBC Symphony et les orchestres philharmoniques d’Oslo et de Berlin. Aux côtés de la compositrice et percusionniste Evelyn Glennie, Erskine avait également participé en juillet 2000 à la première du concerto de double percussion ‘’Fractured Lines’’ composé par Mark-Anthony Turnage. C’est Sir Andrew Davis qui dirigeait la BBC Symphony Orchestra. L’oeuvre avait été enregitrée plus tard par les disques Chandos. Erskine collabore aussi régulièrement avec le chef d’orchestre Simon Rattle. Erskine a également participé à la première de l’opéra Anna Nicole de Turnage, qui avait été présenté à la Royal Opera House de Londres en 2011. Turnage a d’ailleurs composé un concerto solo en l’honneur du batteur simplement intitulé Erskine, qui avait été présenté en première mondiale à Bonn, en Allemagne, en 2013. La première américaine de l’oeuvre a eu lieu en septembre 2014 au Hollywood Bowl sous la direction du L.A. Philharmonic.
Nommé compositeur en résidence pour le célèbre ensemble choral Hilliard Ensemble en Allemagne en 2000, Erskine a également reçu une commande de la BBC pour écrire une suite intitulée “Music for Brass and Percussion.” Parmi les autres commandes qu’on avait confiées à Erskine, on remarquait une oeuvre à l’intention du Los Angeles Guitar Quartet et du joueur de marimba Colin Currie, ainsi qu’une oeuvre de percussion écrite à la mémoire de co-fondateur de Nexus, John Wyre, intitulée “A Bird Sings”.
Reconnu pour sa polyvalence et son habileté à se produire dans différents contextes, Erskine avait participé à plus de sept cents albums et musiques de film, dont cinquante sous son propre nom ou comme co-leader. Parmi les groupes qu’il avait dirigés, on remarquait son trio avec John Taylor, Palle Danielsson et Rita Marcotulli. Erskine dirige actuellement un trio avec le guitariste Nguyen Le et le bassiste Michel Benita, le Trio E_L_B. Il a aussi joué en trio avec le pianiste Alan Pasqua. Parmi les albums d’Erskine comme leader, on remarque notamment ‘’Peter Erskine”, “Transition”, “Motion Poet”, “Sweet Soul”, “Big Theatre”, “You Never Know,” “Time Being”, “As It Is”, “Juni”, ‘’History of the DRUM”, “Behind Closed Doors” et “Side Man Blue”. Comme co-leader, Erskine a publié “Prism” (avec Bill Dobbins et le WDR Big Band), “Cologne” (avec Bill Dobbins et John Goldsby) et “Dream Flight” (avec Nguyen Le et Michel Benita). Le plus récent album d’Erskine sur étiquette Fuzzy Music met en vedette un trio composé du contrebassiste Chuck Berghofer et du pianiste Terry Trotter. Les autres collaborations d’Erskine incluent son travail avec The Lounge Art Ensemble (avec Bob Sheppard au saxophone). Le plus récent CD du groupe est intitulé “Music for Moderns.’’ Le double CD “Peter Erskine & Alan Pasqua with David Carpenter – Live at Rocco” avait été particulièrement salué par la critique. Le CD d’Erskine intitulé “Worth The Wait” mettant en vedette le trompettiste Tim Hagans et le Norrbotten Big Band, avait également obtenu des commentaires élogieux des crutiques. Le CD suivant d’Erskine intitulé The Avatar Sessions, également été enregistré avec Hagans et le Norrbotten Big Band, comprenait comme solistes invités Randy Brecker, Dave Liebman, George Garzone et Rufus Reid.
Erskine a remporté deux prix Grammy. La Berklee School of Music lui a décerné un doctorat honorifique en 1992. Erskine a été intronisé au sein du temple de la renommée de la Percussive Arts Society en novembre 2022. Erskine a également été élu batteur de jazz de l’année par les lecteurs du magazine Modern Drummer à dix reprises.
Au cours de sa carrière, Erskine avait travaillé avec les plus grands noms du jazz et de la musique populaire, dont les big bands de Stan Kenton et Maynard Ferguson, les groupes Weather Report, Steps Ahead, le The Yellowjackets et Steely Dan, Joni Mitchell, Vince Mendoza, Diana Krall, Queen Latifah, Kenny Wheeler, Mary Chapin Carpenter, Linda Ronstadt, The Brecker Brothers, Kurt Elling, Sadao Watanabe, Eliane Elias, Alan Pasqua, Bob Sheppard, Bob Mintzer, Mike Stern, Kate Bush, Miroslav Vitous, Jan Garbarek, Chick Corea, Joe Henderson, Freddie Hubbard, Pat Metheny, Gary Burton, Bob Mintzer, John Abercrombie et John Scofield.
Peter Erskine a épousé Mutsuko Erskine. Le couple a eu deux enfants, l’actrice et autrice Maya Erskine et le réalisateur et producteur de films Taichi Erskine.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Biography of Peter Erskine.’’ Percussive Arts Society, 2023.
‘’Peter Erskine.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Peter Erskine.’’ Petererskine.com, 2023.
‘’Peter Erskine.’’ All About Jazz, 2023.
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