#le bande des quatre
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bulles-de-bd · 5 months ago
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Les Quatre de Baker Street - T07 - L'Affaire Moran
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daltoncity · 2 years ago
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Cococuacuakiki
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Le super sens du timing d'Averell...
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chic-a-gigot · 4 months ago
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La Mode illustrée, no. 29, 16 juillet 1876, Paris. Toilette de promenade. Modèle de chez Mme Bréant-Castel, rue du Quatre-Septembre, 19. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Jupon en soie de couleur vert myrte. Polonaise en cachemire de l'Inde, uni, de même couleur que le jupon. Cette polonaise est boutonnée sur le côté, et garnie d'une ruche en soie pareille au jupon. Le milieu du dos est orné d'une bande de soie plissée qui encadre l'encolure et descend jusqu'au bas du corsage.
Grandes poches Louis XV, garnies de boutons en métal bronzé et de petites ruches en soie. La polonaise est boutonnée par de longues boutonnières bordées de soie, et de gros boutons en métal bronzé.
Myrtle green silk petticoat. Polonaise in cashmere from India, plain, same color as the petticoat. This polonaise is buttoned on the side, and trimmed with a silk ruffle similar to the petticoat. The center back is decorated with a band of pleated silk that frames the neckline and extends to the bottom of the bodice.
Large Louis XV pockets, trimmed with bronzed metal buttons and small silk ruffles. The Polish is buttoned with long buttonholes lined with silk, and large bronzed metal buttons.
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ekman · 3 months ago
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine. 
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir. 
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse. 
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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thebusylilbee · 1 month ago
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Durant l’été 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scène la démolition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans précédent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dénonce alors « un crime intolérable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communauté internationale n’avait pourtant pas exprimé, durant les quatre années précédentes, une indignation comparable face aux ravages infligés par le régime de Bachar Al-Assad à l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait été défigurée, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’Apamée était livré aux pillards et même Palmyre avait déjà souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spécifique, mais plutôt comme une conséquence de la brutale répression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion était entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, à la différence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dégâts collatéraux d’une campagne qualifiée d’« antiterroriste ».
C’est le même registre qui permet à l’armée israélienne d’atténuer l’impact des coups portés au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censée, depuis un an, conduire à la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se déroule loin du regard de la presse étrangère, interdite d’accès à Gaza, et qu’elle a déjà causé la mort de près de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignée n’a pu être opérée qu’en réduisant l’enclave palestinienne à n’être qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par là même son histoire plurimillénaire. L’oasis de Gaza a néanmoins été depuis la plus haute Antiquité un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoité par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l’Egypte, et inversement. Dès la fin du IIe millénaire avant notre ère, Gaza constitue, avec quatre autres cités, aujourd’hui situées en territoire israélien, une fédération dénommée Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en écho de cette Philistie que, des siècles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armée israélienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 à 2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la défense de 1967 à 1974, organise même des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siècles avant notre ère, est acquis par Moshe Dayan, avant d’être cédé par ses héritiers. Il est désormais exposé à Jérusalem, dans la section archéologique du Musée d’Israël, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prédation préservait malgré tout les œuvres concernées, alors que les ravages infligés par Israël à l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une année de bombardements, sont d’une ampleur inédite : non seulement les douze universités de l’enclave palestinienne ont toutes été détruites, totalement ou partiellement, mais la majorité des mosquées et des églises du territoire ont aussi subi le même sort, alors que certaines étaient porteuses d’une histoire pluriséculaire. La masse des débris accumulés atteint d’ores et déjà la proportion affolante de 300 kilogrammes par mètre carré.
L’inventaire d’un patrimoine bombardé
Le monde académique, entre autres en France, a multiplié les initiatives face à un tel désastre. C’est ainsi que l’archéologue René Elter a présenté au Louvre, en avril, devant un amphithéâtre comble, les actions de préservation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a été consacré, en septembre, à Paris, au défi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spécialistes de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, engagés depuis des décennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, après des mois de travaux préparatoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir à la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrés et une fiche explicative détaillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accès aux bases de données pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchée par un bombardement israélien, le 19 octobre 2023, avait déjà été endommagée lors de l’offensive israélienne de l’été 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siècle, est censé abriter la tombe de l’ancien évêque de Gaza, Porphyre, canonisé pour avoir christianisé la cité au début du Ve siècle.
D’autres fiches sont consacrées à des sites plus contemporains : les cimetières militaires regroupant, à Gaza comme à Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombés, en 1917-1918, durant la conquête britannique de la Palestine ; le siège de la municipalité de Gaza, installé en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinémas Samir et Nasr, qui ont marqué la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siècle. Un tel inventaire est, à bien des égards, précieux pour apprécier la diversité de l’immense patrimoine de Gaza, au moment même où il est en train de disparaître sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
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fieriframes · 1 year ago
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[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers." 
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ? 
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
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Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
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jloisse · 8 months ago
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Quatre travailleurs humanitaires internationaux de World Central Kitchen du Royaume-Uni, d'Australie et de Pologne ont été tués dans une frappe "israélienne" contre leur voiture à Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza.
Des personnes pacifiques, nobles et courageuses tuées par les criminels sionistes
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useless-catalanfacts · 8 months ago
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Another of my favourite songs by the indie pop band Ginestà.
Lyrics in Catalan and translation to English:
Marxo, però el meu cos el deixo aquí Amb el cap sobre el coixí També deixo quatre plantes No vengueu els meus vinils
I'm leaving, but I leave my body here with my head on the pillow I also leave a few plants Don't sell my vinil records
No patiu, va ser dormint Vaig triar una bona caixa D'entre totes la de pi, envernissada
Don't worry, it happened when I was sleeping I had chosen a good box out of all the pinewood ones, varnished.
Tornada: Sonen campanes per tota la plaça Gent apartant-se deixant-me passar Sobre l'espatlla dels meus estimats Hi ha el silenci de la resta mortals No ploreu deixant-me anar
Chorus: Bells rings throughout the square People stepping aside to let me pass through On the shoulders of the people I love There's the silence of the rest of mortals Don't cry when you let me go
Marxo, però us observo des d'aquí Amb els núvols de coixí Soc de molt poques paraules No apareixeré de nit Cadascú té el seu destí Ara em toquen les vacances Fer un cafè amb la Lady Di I amb la iaia
I'm leaving, but I watch you from here With the clouds as a pillow I'm not talkative at all, I won't appear at night Each person has its own destiny Now it's time for my holidays To take a coffee with Lady Di And with grandma.
Repeat chorus
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lemondeabicyclette · 9 months ago
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Dr. John Neff ❤️👍😇 : Dans les années 60, il y avait déjà des polémiques sur l'efficacité des vaccins. Cependant depuis 2021, les dommages causés par les vaccins anti Covid19 sont bien supérieurs à ceux du vaccin contre la variole et à ce jour, toujours aucune réaction de la part des autorités sanitaires françaises ou internationales ���🙊🙈🐌☠️😢😕
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« Comment tout peut s'effondrer. » Quatre ans après la recherche pour ces ouvrages - si non enchanteurs, prophétiques - notre toit coule, nos politiques, whorenalisses et autres pousheurs de "soin$ public$" s'apprêtent à nous remettre une enième couche de groundup, une autre ronde de génocide sioniste et une autre bande de couaccinophiles par en arrière pis dans face et ce, dans un cloaque de corruption inflationniste.
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aurevoirmonty · 4 months ago
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"On ne me fera pas non plus le coup de la France périphérique encore une fois, l’arnaque du petit peuple français sain et inviolé, garant officieux d’une illusoire « décence commune ». Je connais la France périphérique ; je croise un peu les gens moi aussi, je les écoute sans rien dire, je lis les commentaires çà et là sur les réseaux, comme ça un peu au hasard, par-ci par-là. Je lis les conneries qu’ils racontent les gens, l’immense conspiration de tous ces inconnus contre l’intelligence, toutes ces conneries mirifiques qu’aucun algorithme ne pourra jamais concurrencer. L’intelligence artificielle, au rythme où vont les choses, peut dormir bien tranquille ; la connerie, même post-humaine, a de beaux jours devant elle et l’homme ne sera jamais un robot comme les autres.La France périphérique nouvelle génération, c’est ce ramassis de post-humains tatoués jusqu’à la raie, ce florilège d’abrutis orelsanisés et gavés de pornographie jusqu’à la moelle, ces spectateurs morbides de « Quatre mariages pour une lune de miel » en quête de dîners presque parfaits, ces éternels adolescents ectoplasmiques biberonnés à la « culture Web », une file interminable de clones siliconés, spirituellement aya-nakamuraïsés et lexicalement nabilaïsés – à moins que ça ne soit l’inverse ? –, traînant leur pauvre vie de réseau social en réseau social, comme une piètre télé-réalité manquée. La France périphérique, c’est le rap en bande originale toute la journée et le pétard à la bouche dès quatorze ans ; et vogue la galère avec les neurones, déjà restreints, qui s’amenuisent au fil des ans. C’est la France des grands frustrés de la mondialisation, ceux qui voudraient bien à leur tour un peu plus de partouze et de pouvoir d’achat. La France pour qui la dernière Playstation ne sera jamais trop chère, mais le Voyage au bout de la nuit à douze euros cinquante sur Amazon Prime toujours hors de prix. La France qui quémande cinq euros de plus pour se noyer toujours sous davantage de merde et rallonger, pour quelques mois encore, ses abonnements Netflix et Disney Plus. C’est la France d’après l’Histoire, à qui même Tinder ne sourit pas ; la France des demi-vivants voués à partouzer depuis l’enfance dans le cybermonde ; la France qui n’a pas son mot à dire, et qui aimerait tant, pourtant, participer au Déluge."
Tom Benejam
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icariebzh · 9 months ago
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"Font leur pipi contre les murs Quelquefois même sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer à la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bâton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquêtes Leurs péripéties de braguette Dans des gros rires à la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guéguerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme à la paupière Les z'hommes
Virilité en bandoulière Orgueil roulé en bandes molletières Agressivité en oeillères Les z'hommes Ils te traiteront de pédé De gonzesse et de dégonflé À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes Prostituées ou Pénélopes Apprivoisées ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux châtelaines Et le tablier à Mémène Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa révolution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa révolution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
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daltoncity · 2 years ago
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Okay William
Jack peut être flatteur vis-à-vis de Joe mais William, c'est un tout autre level. Le pire c'est que c'est sincère. Et parfois même, un peu trop passionné.
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Néanmoins, au fur et à mesure des albums, il se modère un peu plus. Faut croire que leurs aventures lui a fait perdre quelques illusions sur le génie de son frère aîné.
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chic-a-gigot · 14 days ago
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La Mode illustrée no. 46, 12 novembre 1865, Paris. Toilettes des Magasin du Louvre, 164 Rue de Rivoli. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Toilette de théâtre. Robe en poult-de-soie jaune d'or; le bas de la jupe est garni avec des entre-deux en dentelle noire composés de médaillons ovales, traversés perpendiculairement de distance en distance par des médaillions de même forme, mais plus grands, qui unissent les deux entre-deux et les dépassent; grand bournous (sp?) en dentelle noire. Chapeau composé de bandes de velours blanc, alternant avec des bouillonnés en crêpe rouge; brides rouges.
Theatre ensemble. Dress in golden yellow poult-de-silk; the bottom of the skirt is trimmed with black lace entre-deux composed of oval medallions, crossed perpendicularly at intervals by medallions of the same shape, but larger, which unite the two entre-deux and exceed them; large shawl in black lace. Hat composed of bands of white velvet, alternating with bouillonnés in red crepe; red straps.
Première robe en poult de soie blanc, bordée avec un étroit volant tuyauté, surmonté d'un dessin composé de trèfles exécutés en lacet d'or. Robe en velours bleu clair, bordée avec une frange de chenille bleue, mélangée de boules en or; cette robe est relevée devant et sur les côtés, et fixée sur la première robe par des cordelières bleues et or, formant un large trèfle terminé par des glands; corsage décolleté en poult de soie blanc, garni d'une broderie en tulle blanc; corselet en velours bleu, boutonné devant avec trois boutons d'or, encadré avec une corde bleue et or; manches courtes, bouillonnées en tulle. Coiffure antique avec diadème et bandelettes en or chaînette en or, retenant au cou une croix d'or. Gants blancs à quatre boutons (très-longs par conséquent).
First dress in white poult-de-soie, edged with a narrow piped flounce, topped with a design composed of trefoils executed in gold lace. Dress in light blue velvet, edged with a fringe of blue chenille, mixed with gold balls; this dress is raised in front and on the sides, and fixed on the first dress by blue and gold cords, forming a large clover finished with tassels; low-cut bodice in white poult-de-soie, trimmed with white tulle embroidery; blue velvet bodice, buttoned in front with three gold buttons, framed with a blue and gold cord; short sleeves, bubbled in tulle. Antique hairstyle with tiara and gold bands, gold chain, holding a gold cross at the neck. White gloves with four buttons (very long consequently).
Dernière remarque. La robe de velours forme une longue queue par derrière.
Last remark. The velvet dress forms a long tail at the back.
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vulnerablequeen · 3 days ago
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Nicolas
On est la semaine précédant celle de mes vingt ans. Je suis à l’Abreuvoir (je répète, j’avais 19 ans) avec une de mes amies. On s’apprête à aller au sous-sol.
C’est aussi l’époque où je me commandais des Sex on the Beach au bar, et que j’avais toujours un petit sourire de la part des barmans. Heille, je voulais pas goûter l’alcool dans mes drinks. J’ai le droit. À l’époque, l’Abreuvoir était mon temple et j’étais une adepte depuis plusieurs années. Il y avait tout là-bas; le premier étage style bar sportif pour rencontrer des jocks, la terrasse chauffée pour aller fumer et parler à des p’tits bums et le sous-sol avec les fameuses poles dance pour possiblement frencher. Tout y était. Pourquoi aller ailleurs? 
Mon amie et moi on danse au sous-sol. Le genre de place qui nous transporte directement dans un épisode de Fugueuse. La musique est bonne, c’est du Rihanna. Je sens quelqu’un me regarder au loin. Mon prochain french qui m’attend? Let’s go. Je le regarde en retour et je constate qu’il s’est approché. Wo, il me veut? Alright. 
Oh, ça sera pas mon prochain kiss celui-là. C’est un ami d’enfance, je le connais depuis que je suis née. Je suis contente de le voir par exemple, ça faisait un bail. On jase un peu avant qu’il m’introduise à son ami, Nicolas. Nicolas est cute. Il a un regard perçant, les cheveux en bataille et est vêtu de noir. Il a l’air mystérieux. J’ai peut-être envie de percer le mystère. 
Les gars sont dans le mood pour fêter. Mon amie et moi aussi. Un mariage heureux, rien de moins. 
On décide de migrer vers la terrasse pour que les gars puissent fumer et qu’on s’entende un peu plus parler. Nicolas s’assoit tout de suite à côté de moi, nos cuisses se touchent volontairement. Ok, il ne perd pas de temps, me dis-je. On discute tous les quatre ensemble, on a du fun. On parle du dernier album de Drake, que j’ai dévoré. Nicolas et moi avons la même chanson préférée.
Tu me parles d’un bel adon. 
Plus je regarde Nico, plus il me rappelle quelqu’un. J’ai l’impression que c’est un acteur, mais il vient de me dire qu’il travaille pour la compagnie de son père. Peut-être que j’ai bu trop de drinks sucrés portant un nom risible. 
Mon amie et moi, on veut rentrer chez nous, on est un peu fatiguées. Mon amie est déçue de ne pas avoir frenché, je la comprends. On quitte les gars et je les invite par la bande à ma fête la semaine prochaine au Salon Officiel. Nicolas accepte tout de suite. D’accord, on se verra la semaine prochaine mon beau. 
« Damn, y’est down le gars. As he should. » me dit mon amie. 
Je donne un bec sur la joue à mon amie. J’aime ça quand on me donne des compliments. 
On est le 24 avril 2015, c’est le jour officiel - comme le Salon - de mes 20 ans. Mes ami·es de l’université et moi on fait une tournée des bars sur St-Denis: on va au 3 Amigos manger, on va au St-Bock prendre des shots, on va caler des pichets au St-Sulpice et on fait un arrêt au Pub du Quartier Latin prendre je sais plus quoi. Ça commence à être flou. 
On termine notre course à la boisson au Salon Officiel. Je suis complètement ivre. J’ai pris des shooters, j’ai mélangé les drinks, mais j’ai un bon fond de bouffe donc tout est bien géré. On n’a 20 ans juste une fois, hein?
On arrive au Salon Officiel et je ne vois que Nicolas au fond de la salle, pas loin du DJ booth où Ajust s’en donne à cœur joie. Je vais le rejoindre. Nicolas, pas Ajust, même si son set est excellent. 
« T’es tout seul? », lui lance-je. Mon esprit logique n’était pas invité à ma fête.
« Ouais, j’étais dans le coin. Ton ami d’enfance va arriver plus tard. », me répond Nicolas. 
On se met tout de suite à danser ensemble. Mes ami·es et moi et Nicolas sommes au centre du petit Salon Officiel et on est là pour mettre de l’ambiance. La musique est bonne, il fait chaud, tout est réuni pour que…
Nicolas m’embrasse. Un bec un peu timide, mais sincère. Il ne perd pas de temps. Mes pauvres ami·es vont devoir m’endurer en train de frencher pour un ti-bout. Je suis aussi timide que Nico à ce moment précis, mais l’alcool me donne le kick pour l’embrasser en retour. Y’a beaucoup de va-et-vient dans toute l’histoire.  
On est collés, on se french à grands coups d’insouciance. On a clairement plus conscience que mes ami·es nous regardent se manger la face. Oh well. 20 ans, right? 
Mon ami d’enfance nous rejoint finalement. Il doit être 2h du matin. La soirée a passé cruellement vite. Je lui donne le plus gros câlin du monde. T’sais, un bon câlin de fille saoule qui vient d’entrer dans la vingtaine. Ça saute dans les bras du monde, ça. 
On danse tout le monde ensemble, mes ami·es de l’uni décident de rentrer au bercail. Iels ont été vaillant·es toute la soirée. Allez dormir, mes ami·es. Vous êtes exceptionnel·les. 
Mon ami d’enfance, Nicolas et moi, on n’a pas le goût de se coucher. Nico me dit qu’on peut aller chez son père, vu qu’il n’habite pas loin. Je ne suis pas en état de rencontrer le daron, pense-je. Il nous confirme que son père est à Los Angeles pour le travail. Bon, parfait dans ce cas. 
Que la fête continue. 
On arrive chez le père de Nicolas et… Wow. Quessé ça cette belle maison-là qui n’a l’air de rien à l’extérieur? Les plafonds sont tellement hauts, mais c’est pas écho. Bien pensé, architecturalement parlant. 
On continue à boire, d’autres amis de Nico sont venus nous rejoindre pour un after party qui bat visiblement son plein. C’est l’fun, la vingtaine. On continue à faire des shots, à boire des gin tonic plus gin que tonic. Je suis bien partie, mais étonnement encore présente mentalement. C’est ça l’important. 
On se réchauffe des pizz’ congelées qu’on mange comme de vrais affamé·es. Je suis comblée. C’est comme ça que je voulais fêter ce soir. 
Nicolas m’invite à rester dormir. Il doit être 4h du matin. Je ne me vois pas retourner chez ma mère à ce moment-là, je pense que je lui avais dit que je dormais chez une de mes amies de toute façon. Ton lit ce sera, mon Nico. 
On monte et… pardon? Les escaliers flottants, les immenses chambres, les rideaux qui se baissent automatiquement… Mais où suis-je? 
« Ton père il fait quoi? », demande-je à Nicolas, de la façon la plus indiscrète possible. 
« Il travaille beaucoup disons », me répond Nico. J’oublie cette réponse incomplète et me jette sur le lit. Nicolas me déshabille, c’est cute. Il m’embrasse partout sur le corps. Sur le ventre. Les seins. Les joues. La bouche. Mmm. 
« Nico… Je suis trop saoule. Je te vois flou. Hahahaha. », lui dis-je, en toute honnêteté, en simulant un fou rire afin d’étouffer le possible malaise. 
« Y’a tellement pas de stress Gen. Moi aussi je suis complètement drunk. Hahahaha. » me revient-il, en respectant mes limites et les siennes. 
Une belle fête, quoi. 
On s’endort en cuillère dans son lit terriblement confortable. 
Je me réveille le lendemain matin, ou le matin même, vers 10h. J’ai un mal de tête monstrueux. Je remarque un peu plus le paysage et je suis toujours aussi impressionnée. Nicolas a un énorme projecteur dans sa chambre. Ça doit valoir cher, me suis-je passée comme remarque. 
Moi, je vaux pas grand chose en ce moment. Nico est encore endormi, j’en profite pour me rendre au rez-de-chaussé me claquer un bon verre d’eau.
La place est encore plus belle que la veille. Immenses œuvres d’art qui maquillent les murs, une cour intérieure digne d’une revue d’architecture. Je me sers un verre d’eau dans la somptueuse cuisine et je me retourne vers… des prix? 
Voyons. C’est un Golden Globe, ça? Et ça, un Emmy? Quoi? 
Attends. 
Je m’approche d’une photo regroupant plusieurs personnes et je vois Matthew McConaughey. Puis…
Jean-Marc Vallée. 
Attends minute. Attends. Attends. Attends. 
Je suis chez… Jean-Marc Vallée. 
Je ne vois que des photos de lui par la suite, avec Nicolas et son grand frère. 
Je sais où j’ai vu Nicolas. Dans C.R.A.Z.Y. Le petit frère. 
Tout devient clair. Mon mal de tête est quasiment parti tellement que mon cerveau est illuminé en ce moment. 
Nicolas descend. Il me voit devant toutes les décorations d’or. Il comprend que je comprends. 
« Ton père c’est fucking Jean-Marc Vallée? » lui lance-je, visiblement sous le choc. 
« Le seul et l’unique! » me répond-t-il, avec un beau sourire. Il a l’air fier. Il a raison de l’être. 
Je suis terriblement hangover, mais fière aussi d’être chez un homme que j’admire. 
Je ne pouvais pas mieux commencer ma vingtaine.  *** Aujourd'hui, c'est émotif pour moi de partager cette nouvelle-là. Je n'ai pas revu Nicolas après ça, mais je suis chanceuse d'avoir eu connaissance de la fierté et de l'amour qu'un fils porte envers son père aussi prolifique. La mort de Jean-Marc Vallée est une tragédie, tant pour sa famille que pour le cinéma et la télévision. Je chéris réellement cette histoire, plus particulièrement depuis son décès. J'aurai toujours une pensée pour ses fils.
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jpbjazz · 5 days ago
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LÉGENDES DU JAZZ
HAMIET BLUIETT, LE PLUS MODERNE DES SAXOPHONISTES BARYTON
“Most people who play the baritone don’t approach it like the awesome instrument that it is. They approach it as if it is something docile, like a servant-type instrument. I don’t approach it that way. I approach it as if it was a lead voice, and not necessarily here to uphold the altos, tenors and sopranos.”
- Hamiet Bluiett
Né le 6 septembre 1940 au nord de East St. Louis à Brooklyn, dans les Illinois, Hamiet Ashford Bluiett Jr. était le fils d’Hamiet Bluiett Sr. et de Deborah Dixon. Aussi connu sous le surnom de Lovejoy, le quartier de East St. Louis était majoritairement peuplé d’Afro-Américains. Fondé pour servir de refuge aux anciens esclaves affranchis dans les années 1830, le village était devenu plus tard la première ville américaine majoritairement peuplée de gens de couleur.
Bluiett avait d’abord appris à jouer du piano à l’âge de quatre ans avec sa tante qui était directrice de chorale. Il était passé à la clarinette cinq ans plus tard en étudiant avec George Hudson, un populaire chef d’orchestre de la région. Même s’il avait aussi joué de la trompette, Bluiett avait surtout été attiré par le saxophone baryton.
Après avoir amorcé sa carrière en jouant de la clarinette dans les danses dans son quartier d’origine de Brooklyn, Bluiett s’était joint à un groupe de la Marine en 1961. Par la suite, Bluiett avait fréquenté la Southern Illinois University à Carbondale, où il avait étudié la clarinette et la flûte. Il avait finalement abandonné ses études pour aller s’installer à St. Louis, au Missouri, au milieu des années 1960.
Bluiett était au milieu de la vingtaine lorsqu’il avait entendu le saxophoniste baryton de l’orchestre de Duke Ellington, Harry Carney, jouer pour la première fois. Dans le cadre de ce concert qui se déroulait à Boston, au Massachusetts, Carney était devenu la principale influence du jeune Bluiett. Grâce à Carney, Bluiett avait rapidement réalisé qu’un saxophoniste baryton pouvait non seulement se produire comme accompagnateur et soutien rythmique, mais également comme soliste à part entière. Expliquant comment il était tombé en amour avec le saxophone barytone, Bluiett avait déclaré plus tard: "I saw one when I was ten, and even though I didn't hear it that day, I knew I wanted to play it. Someone had to explain to me what it was. When I finally got my hands o n one at 19, that was it."
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après avoir quitté la Marine en 1966, Bluiett s’était installé à St. Louis, au Missouri. À la fin de la décennie, Bluiett avait participé à la fondation du Black Artists' Group (BAG), un collectif impliqué dans diverses activités artistiques à l’intention de la communauté afro-américaine comme le théâtre, les arts visuels, la danse, la poésie, le cinéma et la musique. Établi dans un édifice situé dans la basse-ville de St. Louis, le collectif présentait des concerts et d’autres événements artistiques.
Parmi les autres membres-fondateurs du groupe, on remarquait les saxophonistes Oliver Lake et Julius Hemphill, le batteur Charles "Bobo" Shaw et le trompettiste Lester Bowie. Hemphill avait aussi dirigé le big band du BAG de 1968 à 1969. Décrivant Bluiett comme un professeur et mentor naturel, Lake avait précisé: “His personality and his thoughts and his wit were so strong. As was his creativity. He wanted to take the music forward, and we were there trying to do the same thing.”
À la fin de 1969, Hemphill s’était installé à New York où il s’était joint au quintet de Charles Mingus et au big band de Sam Rivers. Au cours de cette période, Bluiett avait également travaillé avec une grande diversité de groupes, dont ceux des percussionnistes Tito Puente et Babatunde Olatunji, et du trompettiste Howard McGhee. Il avait aussi collaboré avec le Thad Jones-Mel Lewis Orchestra.
En 1972, Bluiett avait de nouveau fait équipe avec Mingus et avait fait une tournée en Europe avec son groupe. Collaborateur plutôt irrégulier de Mingus, Bluiett quittait souvent le groupe avant de réintégrer la formation un peu plus tard. En 1974, Bluiett avait de nouveau regagné le giron du groupe de Mingus aux côtés du saxophoniste ténor George Adams et du pianiste Don Pullen, qui deviendrait plus tard un de ses plus fidèles collaborateurs. Il avait aussi joué avec le groupe de Mingus à Carnegie Hall. Bluiett avait continué de travailler avec Mingus jusqu’en 1975, lorsqu’il avait commencé à enregistrer sous son propre nom.
Le premier album de Bluiett comme leader, Endangered Species, avait été publié par les disques India en juin 1976. L’album avait été enregistré avec un groupe composé d’Olu Dara à la trompette, de Junie Booth à la contrebasse et de Philip Wilson à la batterie. En 1978, Bluiett avait enregistré Birthright, un magnifique album live dans lequel il avait joué en solo durant quarante minutes et qui comprenait un hommage à son idole Harry Carney.
En 1976, la même année où il publiait son premier album solo, Bluiett avait co-fondé le World Saxophone Quartet avec d’autres membres du Black Artists Group comme Oliver Lake et Julius Hemphill. Le saxophoniste ténor (et clarinettiste basse) David Murray faisait également partie de la formation. Surnommé à l’origine le Real New York Saxophone Quartet, le groupe avait amorcé ses activités en présentant une série de cliniques et de performances à la  Southern University de la Nouvelle-Orléans, avant de se produire au Tin Palace de New York. Menacé d’une poursuite judiciaire par le New York Saxophone Quartet, le groupe avait éventuellement changé de nom pour devenir le World Saxophone Quartet (WSQ).
Le groupe avait enregistré son premier album (d’ailleurs largement improvisé) sous le titre de Point of No Return en 1977. Jouant une musique diversifiée allant du Dixieland au bebop, en passant par le funk, le free jazz et la World Music, le groupe avait remporté un énorme succès (il est aujourd’hui considéré comme une des formations de free jazz les plus populaires de l’histoire) et avait reçu de nombreux éloges de la critique. Qualifiant le groupe de ‘’the most commercially (and, arguably, the most creatively) successful" de tous les ensembles de saxophones formés dans les années 1970, Chris Kelsey écrivait dans le All Music Guide: ‘’At their creative peak, the group melded jazz-based, harmonically adventurous improvisation with sophisticated composition." Commentant un concert du groupe en 1979, Robert Palmer avait déclaré dans le New York Times: “The four men have made a startling conceptual breakthrough. Without ignoring the advances made by musicians like Anthony Braxton and the early Art Ensemble of Chicago, they have gone back to swinging and to the tradition of the big‐band saxophone section.” Palmer avait ajouté: “Some of the music looks to the more archaic end of the tradition, to the hocket‐style organization of wind ensembles in African tribal music, and in doing so it sounds brand new.” 
Reconnaissant la contribution de Bluiett dans la création du son d’ensemble du groupe, Kelsey avait précisé:  "The WSQ's early free-blowing style eventually transformed into a sophisticated and largely composed melange of bebop, Dixieland, funk, free, and various world musics, its characteristic style anchored and largely defined b y Bluiett's enormous sound." Très conscient de l’importance de la mélodie, Bluiett avait toujours insisté pour que le groupe se concentre principalement sur les balades et l’improvisation. Il expliquait:  “I think melody is very important. When we went into the loft situation, I told the guys: ‘Man, we need to play some ballads. You all playing outside, you running people away. I don’t want to run people away.’ ”
Parallèlement à sa collaboration avec le World Saxophone Quartet, Bluiett avait également publié d’autres albums comme leader comme Im/Possible To Keep (août 1977), un enregistrement en concert qui comprenait une version de quarante minutes de la pièce ‘’Oasis - The Well’’ (en trio avec le contrebassiste Fred Hopkins et le percusionniste Don Moye) et une version de trente-sept minutes de la pièce Nali Kola/On A Cloud en quartet avec le pianiste Don Pullen. En novembre 1977, Bluiett avait enchaîné avec Resolution, un album enregistré en quintet avec Pullen, Hopkins et les percussionnistes Don Moye et Billy Hart. À peine un mois plus tard, Bluiett avait récidivé avec Orchestra Duo and Septet, qui mettait à profit différentes combinaisons de musiciens comprenant le violoncelliste Abdul Wadud, le trompettiste Oldu Dara, le pianiste Don Pullen, le joueur de balafon Andy Bey, le flûtiste Ladji Camara, le contrebassiste Reggie Workman, le joueur de oud (un instrument à corde d’origine iranienne) Ahmed Abdul-Malik et le batteur Thabo Michael Carvin.
Avec le temps, les albums de Bluiett publiés en dehors de sa collaboration avec le World Saxophone Quartet étaient devenus de plus en plus accessibles. En faisaient foi des parutions comme Dangerously Suite (avril 1981), qui était une sorte de bilan de la musique populaire afro-américaine, et Ebu (février 1984), enregistré avec John Hicks au piano, Hopkins à la contrebasse et Marvin Smith à la batterie. L’album live  Bearer of the Holy Flame (juillet 1983) documentait la collaboration de Bluiett avec un quintet composé de Hicks au piano et de deux percussionnistes. En juillet 1987, Bluiett avait aussi collaboré avec le trompettiste sud-africain Hugh Masekela dans le cadre de l’album Nali Kola qui mettait en vedette un saxophoniste soprano, un guitariste et trois percussionnistes africains
Littéralement passionné par son instrument, Bluiett avait également dirigé plusieurs groupes composés de plusieurs autres saxophonistes baryton. Également clarinettiste, Bluiett avait formé en 1984 le groupe Clarinet Family, un ensemble de huit clarinettistes utilisant des clarinettes de différents formats allant de la clarinette soprano E-flat à la clarinette contrebasse. Le groupe était composé de Don Byron, Buddy Collette, John Purcell, Kidd Jordan, J. D. Parran, Dwight Andrews, Gene Ghee et Bluiett à la clarinette et aux saxophones, de Fred Hopkins à la contrebasse et de Ronnie Burrage à la batterie. Le groupe a enregistré un album en concert intitulé Live in Berlin with the Clarinet Family, en 1984.
DERNIÈRES ANNÉES
Le World Saxophone Quartet avait continué de jouer et d’enregistrer dans les années 1990. Lorsque Julius Hemphill avait quitté le groupe pour former son propre quartet au début de la même décennie, c’est Arthur Blythe qui l’avait remplacé. En 1996, le groupe avait enregistré un premier album pour l’étiquette canadienne Justin Time. Intitulé "Four Now’’, l’album avait marqué un tournant dans l’évolution du groupe, non seulement parce que c’était le premier auquel participait le saxophoniste John Purcell, mais parce qu’il avait été enregistré avec des percussionnistes africains. Comme compositeur, Bluiett avait également continué d’écrire de nombreuses oeuvres du groupe, dont Feed The People on Metamorphosis (avril 1990) et Blues for a Warrior Spirit on Takin' It 2 the Next Level (juin 1996).
Lorsque le World Saxophone Quartet avait commencé à ralentir dans les années 1990 après la fin de son contrat avec les disques Elektra, Bluiett s’était lancé dans de nouvelles expérimentations comme chef d’orchestre. En collaboration avec la compagnie de disques Mapleshade, Bluiett avait fondé le groupe Explorations, une formation combinant à la fois des nouveaux talents et des vétérans dans un style hétéroclite fusionnant le jazz traditionnel et l’avant-garde. Après avoir publié un album en quintet sous le titre If You Have To Ask You Don't Need To Know en février 1991, Bluiett avait publié deux mois plus tard un nouvel album solo intitulé Walkin' & Talkin', qui avait été suivi en octobre 1992 d’un album en quartet intitulé Sankofa Rear Garde.
Depuis les années 1990, Bluiett avait dirigé un quartet appelé la Bluiett Baritone Nation, composé presque exclusivement de saxophonistes baryton, avec un batteur comme seul soutien rythmique. Mais le projet n’avait pas toujours été bien accueilli par la critique. Comme le soulignait John Corbett du magazine Down Beat, "Here's a sax quartet consisting all of one species, and while the baritone is capable of playing several different roles with its wide range, the results get rather wearisome in the end." Le groupe avait publié un seul album, Liberation for the Baritone Saxophone Nation’’ en 1998, une captation d’un concert présenté au Festival international de jazz de Montréal la même année. Outre Bluiett, l’album mettait à contribution les saxophonistes baryton James Carter, Alex Harding et Patience Higgins, ainsi que le batteur Ronnie Burrage. Commentant la performance du groupe, le critique Ed Enright écrivait: "In Montreal, the Hamiet Bluiett Baritone Saxophone Group was a seismic experience... And they blew--oh, how they blew--with hurricane force." Décrivant le concept du groupe après sa performance, Bluiett avait précisé:
‘’This is my concept, and it’s all about the baritone, really. The music has to change for us to really fit. I’m tired of trying to fit in with trumpet music, tenor music, alto music, soprano music. I'm tired of trying to fit in with trumpet music, tenor music, alto music, soprano music. It takes too much energy to play that way; I have to shut the h orn down. Later! We've got to play what this horn will sound like. So, what I’m doing is redesigning the music to fit the horn {...}. It’s like being in the water. The baritone is not a catfish [or any of those] small fish. It’s more like a dolphin or a whale. And it needs to travel in a whole lot of water. We can’t work in no swimming pools.The other horns will get a chance to join us. They’ve just got to change where they’re coming from and genuflect to us—instead of us to them.”
En mars 1995, Bluiett avait publié un album en sextet intitulé  New Warrior, Old Warrior. Comme son titre l’indiquait, l’album mettait à contribution des musiciens issus de cinq décennies différentes. Le critique K. Leander Williams avait écrit au sujet de l’album:  "The album puts together musicians from ages 20 to 70, and though this makes for satisfying listening in several places, when it doesn't w ork it's because the age ranges also translate into equally broad--and sometimes irreconcilable--stylistic ones.’’ Tout en continuant de transcender les limites de son instrument, Bluiett avait également exprimé le désir d’une plus grande reconnaissance. Il expliquait: "[A]ll the music these days is written for something else. And I'm tired of being subservient to it. I refuse to do it anymore. I refuse to take the disrespect anymore." En juin 1996, Bluiett avait publié  Barbecue Band, un album de blues.
Après être retourné dans sa ville natale de Brooklyn, dans les Illinois, pour se rapprocher de sa famille, enseigner et diriger des groupes de jeunes en 2002, Bluiett s’était de nouveau installé à New York dix ans plus tard. Décrivant son travail de professeur, Bluiett avait commenté: “My role is to get them straight to the core of what music is about. Knowing how to play the blues has to be there. And learning how to improvise—to move beyond the notes on the page—is essential, too.”
À la fin de sa carrière, Bluiett avait participé à différentes performances, notamment dans le cadre du  New Haven Jazz Festival le 22 août 2009. Au cours de cette période, Bluiett s’était également produit avec des étudiants de la Neighborhood Music School de New Haven, au Connecticut. Le groupe était connu sous le nom de Hamiet Bluiett and the Improvisational Youth Orchestra.
Hamiet Bluiett est mort au St. Louis University Hospital ade St. Louis, au Missouri, le 4 octobre 2018 des suites d’une longue maladie. Il était âgé de soixante-dix-huit ans. Selon sa petite-fille Anaya, la santé de Bluiett s’était grandement détériorée au cours des années précédant sa mort à la suite d’une série d’attaques. Il avait même dû cesser de jouer complètement du saxophone en 2016. Même si le World Saxophone Quartet avait connu de nombreux changements de personnel au cours des années, il avait mis fin à ses activités après que Bluiett soit tombé malade. Les funérailles de Bluiett ont eu le lieu le 12 octobre au Lovejoy Temple Church of God, de Brooklyn, dans les Illinois. Il a été inhumé au Barracks National Cemetery de St. Louis, au Missouri.
Bluiett laissait dans le deuil ses fils, Pierre Butler et Dennis Bland, ses filles Ayana Bluiett et Bridgett Vasquaz, sa soeur Karen Ratliff, ainsi que huit petits-enfants. Bluiett s’est marié à deux reprises. Après la mort de sa première épouse, Bluiett s’était remarié, mais cette union s’était terminée sur un divorce.
Saluant la contribution de Bluiett dans la modernisation du son du saxophone baryton, Garaud MacTaggart écrivait dans le magazine MusicHound Jazz: "Hamiet Bluiett is the most significant baritone sax specialist since Gerry Mulligan and Pepper Adams. His ability to provide a stabilizing rhythm (as he frequently does in the World Saxophone Quartet) or to just flat-out wail in free-form abandon has been appare nt since his involvement with St. Louis' legendary Black Artists Group in the mid-1960s." 
Tout en continuant de se concentrer sur le saxophone baryton, Bluiett avait continué de jouer de la clarinette et de la flûte. Avec son groupe Clarinet Family, il avait même contribué à faire sortir de l’ombre des instruments moins bien connus comme les clarinettes contrebasse et contre-alto ainsi que la flûte basse.
Refusant de confiner son instrument à un rôle essentiellement rythmique, Bluiett avait toujours considéré le baryton comme un instrument soliste à part entière. Il expliquait: “Most people who play the baritone don’t approach it like the awesome instrument that it is. They approach it as if it is something docile, like a servant-type instrument. I don’t approach it that way. I approach it as if it was a lead voice, and not necessarily here to uphold the altos, tenors and sopranos.” 
Refusant de se laisser dominer par les ordinateurs et les nouvelles technologies, Bluiett avait toujours été un ardent partisan d’un son pur et naturel. Il poursuivait: "I'm dealing with being more healthful, more soulful, more human. Not letting the computer and trick-nology and special effects overcome me. I'm downsizing to maximize the creative part. Working on being more spiritual, so that the music has power... power where the note is still going after I stop playing. The note is still going inside of the people when they walk out of the place." Doté d’une technique impeccable, Bluiett affichait une maîtrise remarquable de son instrument dans tous les registres. Le jeu de Bluiett, qui atteignait un total de cinq octaves, lui permettait de jouer dans des registres qu’on croyait jusqu’alors hors de portée du saxophone baryton.
À l’instar de son collaborateur de longue date, le saxophoniste ténor David Murray, Bluiett était un adepte de la respiration circulaire, ce qui lui permettait de prolonger son phrasé sur de très longues périodes sans avoir à reprendre son souffle. Reconnu pour son jeu agressif et énergique, Bluiett incorporait également beaucoup de bebop et de blues dans le cadre de ses performances. Très estimé par ses pairs, Bluiett avait remporté le sondage des critiques du magazine Down Beat comme meilleur saxophoniste baryton à huit reprises, et ce, sur quatre années consécutives de 1990 à 1993 et de 1996 à 1999. Décrivant la virtuosité et la polyvalence de Bluiett, le critique Ron Wynn écrivait dans le magazine Jazz Times en 2001: ‘’There haven’t been many more aggressive, demonstrative baritone saxophonists in recent jazz history than Hamiet Bluiett. He dominates in the bottom register, playing with a fury and command that becomes even more evident when he moves into the upper register, then returns with ease to the baritone’s lowest reaches.’’
Décrivant Bluiett comme un des saxophonistes les plus dominants de son époque, le critique Stanley Crouch avait déclaré: "He had worked on playing the saxophone until he had an enormous tone that did not just sound loud. And the way that Bluiett described Harry Carney's playing — he basically was telling you how he wanted to play: 'I want to be able to play that very subtle, pretty sound, way at the top of the horn, if necessary. I want to play a foghorn-like low note. And if they want a note to sound like a chain beat on a floor, I can do that, too.'"
Tout aussi à l’aise dans les standards du jazz que dans le blues, Hamiet Bluiett a enregistré près de cinquante albums au cours de sa carrière, que ce soit en solo, en duo, dans le cadre de petites formations ou en big band. Bluiett a collaboré avec de grands noms du jazz et de la musique populaire, dont Babatunde Olatunji, Abdullah Ibrahim, le World Saxophone Quartet, Stevie Wonder, Marvin Gaye, James Carter, Bobby Watson, Don Braden, Anthony Braxton, Larry Willis, Charles Mingus, Randy Weston, Gil Evans, Lester Bowie, Don Cherry, Eddie Jefferson et Arthur Blythe. Même s’il croyait que les musiciens devaient faire un effort pour se rapprocher du public, Bluiett était aussi d’avis que le public devait faire ses propres efforts pour comprendre la musique qu’on lui proposait. Il précisait:  "Get all the other stuff out of your mind, all of the hang-ups, and just listen. If you like it, cool. If you don't like it, good too. If you hate it, great. If you love it, even better. Now if you leave the concert and don't have no feeling, then something is wrong. That's when we made a mistake."
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jloisse · 7 months ago
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🟩"Abu Muhammad, porte-parole des Brigades Al-Aqsa - Brigade du Martyr Nidal al-Amoudi :
🔻Le gouvernement du criminel Netanyahou cherche à se maintenir au pouvoir en élargissant le cercle de feu, mais il les brûlera.
🔻 Depuis le début de la guerre, nous avons effectué plus de 470 missions militaires contre l'ennemi.
🔻Nous avons participé à plus de 190 affrontements directs avec des soldats et des véhicules ennemis, et endommagé plus de 50 véhicules.
🔻Nous avons mené 170 opérations de bombardement sur des concentrations ennemies et des quartiers généraux de commandement et de contrôle, et tué au moins 25 soldats.
🔻Nous avons déjoué quatre débarquements navals de forces ennemies sur les côtes de la bande de Gaza et mené 23 attaques de drones.
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